Aide à l'indexation des inventaires de Me Martin Delacroix (1626-1647)

[cdemaz]

https://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=40589
Inventaires de Martin Delacroix - AN ET-XLI-134 (1634-1635)

[...]
71 JD
85 JD
91 Ch
98 Ch
101 B
115 Ch
122 Ch
126 B
137 B
143 Ch
195 Ch
200 B
216 Ch
228 Ch
236 Ch
297 Ch

https://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=40590
Inventaires de Martin Delacroix - AN ET-XLI-135 (1636-1647)

1 JD
12 JD
47 JD
66 JD
77 Ch
82 Ch
85 B Vue 90 à refaire svp
93 Ch
108 Ch
112 B
121 JD
127 JD
138 Ch

Bonjour à tous,

il ne faisait pas bon être prêtre à Saint-Germain-l'Auxerrois à l'automne 1634 :

[134–115] Le 26 octobre 1634. Inventaire après le décès de maître Geoffroy GERARD, prêtre habitué en l’église Saint-Germain-l’Auxerrois. A la requête de maître Etienne FOUQUET (signe FOUCQUET), régent en la faculté de Paris, demeurant rue Saint-Jacques, paroisse Saint-Benoît-le-Bétourné, de maître Thomas DESRUES, et de maître Julien TURGOT, prêtres habitués en l’église Saint-Germain-l’Auxerrois, demeurant savoir ledit DESRUES au collège de Justice et ledit TURGOT rue de l’Arbre Sec, vis-à-vis l’église dudit Saint-Germain, exécuteurs du testament du défunt, et en la présence de maître François GERARD, maître ès arts en l’Université de Paris, demeurant chez monsieur Chasteau, trésorier des bâtiments du Roi, rue des Deux-Ecus, paroisse Saint-Eustache, héritier du défunt son oncle. Les biens étant en une chambre où le défunt est décédé et une garde robe joignant, sise en la rue du Demi-Saint, près de l’église dudit Saint-Germain.

FOUQUET et TURGOT, étonnant de voir ces noms qui seront portés plus tard par de célèbres personnages dans les contrôles général des finances.

[134–122] Le 28 novembre 1634. Inventaire après le décès de maître Pierre GAUBERT, prêtre habitué en l’église de Saint-Germain-l’Auxerrois. A la requête de maître Jean LE GENISEL (signe GENISSEL), prêtre habitué en l’église Saint-Eustache à Paris, demeurant rue de Montmartre, vis-à-vis ladite église, exécuteur du testament du défunt. Et en la présence de Christophe DU TERTRE, laboureur demeurant en la paroisse de Saint-Foye vicomté de Domfront (61700), pays de Normandie, tant en son nom à cause de Jeanne GAUBERT sa femme, que pour et au nom Jean DESESTHALLIER(?), laboureur demeurant au lieu de Fricannière, paroisse de Ceaucé (61330), à cause de Françoise GAUBERT, sa femme, et de Sébastien GAHERY, aussi laboureur demeurant au lieu de la Trousserie en ladite paroisse de Ceaucé, à cause de Marie GAUBERT sa femme, et aussi comme procureur de Gilles GAUBERT, aussi laboureur demeurant au lieu de la Bordelière paroisse dudit Ceaucé, fondé de procuration passée en la baronnie d’Ambrières le 22 novembre 1634. Lesdits GAUBERT, héritiers dudit défunt Pierre GAUBERT, leur fils et frère. Les biens étant en une chambre où le défunt est décédé, au quatrième étage d’une maison sise rue de l’Arbre Sec, vis-à-vis l’église Saint-Germain-l’Auxerrois.

Merci Anthony, Justice j'achète. Et après relecture Fricannière c'est très bien.

A plus tard
Christophe.

[alachaud]

Salut Christophe,

Serait-ce le collège de Justice dans le 115? C'est ce que j'ai trouvé de plus approchant: https://fr.wikipedia.org/wiki/Ancienne_universit%C3%A9_de_Paris#Coll%C3%A8ges_s%C3%A9culiers

Pour le 122, je propose Fetonnet (qui commencerait par les lettres "Fait..." avant de se perdre dans la bordure racornie de la page) à Ceaucé: https://www.meilleursagents.com/prix-immobilier/ceauce-61330/rues/

Amicalement,

Anthony

[bertrandg]

Bonjour,

un petit nouveau,

[134 - 137] 25 janvier 1635 - Inventaire après le décès de défunte Marie POISLE, à la requête de honnête homme Pierre GRESLOT, maître cordonnier et cordonnier de Monseigneur frère unique du Roi, demeurant à Paris, rue de l'Arbre Sec, paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois, tuteur de Honoré, Nicolas, Etienne, Jeanne et Anne GRESLOT, leurs enfants mineurs. En la présence de Simon GOSNIER (signe GONIER), maître cordonnier à Paris, rue Saint-Honoré, en ladite paroisse, subrogé tuteur des mineurs.

Bonne journée.

Bertrand

[cdemaz]

Bonjour à tous,

j'ajoute (ou je retranche, c'est selon) :

[134–143] Le vendredi 9 février 1635. Inventaire après le décès de noble homme maître Christophe AMELOT, conseiller du Roi, contrôleur général des rentes en la généralité de Soissons, et greffier des consignations extraordinaires du conseil. A la requête de damoiselle Françoise de MAILLART, sa veuve demeurant à Paris, rue Grenier Saint-Lazare, paroisse Saint-Nicolas-des-Champs, tant en son nom donataire mutuelle, que comme exécutrice du testament du défunt. Et en la présence de maître Julien AMELOT, greffier des œuvres de maçonnerie en la ville et prévôté de Paris, demeurant rue des Arcis, paroisse Saint-Merry, et de honorable homme Michel NOBLET, marchand chandelier, bourgeois de Paris, et de Pierre SERVOISY (signe SERVOIZY), marchand mercier, bourgeois de Paris, y demeurant rue Saint-Martin, paroisse Saint-Laurent, au nom et comme procureur de honorable homme Pierre AMELOT, bourgeois de Paris, leur père et beau-père, habile à se dire et porter seul et unique héritier dudit défunt AMELOT son neveu. Assistés de maître Charles Gallyot, procureur au Châtelet de Paris, et procureur dudit Pierre AMELOT. Aussi en la présence de maître Pierre Merien, procureur au Châtelet et procureur de maître Pierre BRETON, vigneron demeurant à Arcueil, et de Regnaude BOULLIER sa femme, ladite BOULLIER, habile à se dire et porter héritière maternelle dudit défunt AMELOT. Les biens étant en la maison de Paris, et en la maison d’Ollainville (91340), appartenant à la succession du défunt (vue 188).
(vue 158) cote 1 : 1623 – Contrat de mariage AMELOT x Françoise de MAILLART.
(vue 159) cote 2 : 1624 – Donation mutuelle.
(vue 160) cote 3 : 23 février 1634 – Testament du défunt.
(vue 175) cote 20 : 1625 – Inventaire après le décès de Madeleine PANNIER, à la requête de son mari, Jean AMELOT, procureur au Châtelet, en son nom.

[134–195] Le jeudi 1er mars 1635. Inventaire après le décès de Marie DUBOIS. A la requête de son mari Antoine DESPAUX/DESPAUZ (signe DESPAULX), brodeur à Paris, y demeurant rue Guerin-Boisseau, paroisse Saint-Laurent, tant en son nom que comme tuteur de Jean PREVOST, fils mineur de la défunte et de Pierre PREVOST, son précédent mari, et en la présence de Vincent PREVOST, maître émailleur à Paris, y demeurant en ladite maison, subrogé tuteur dudit mineur.
(vue 198) cote 1 : 1634 – Contrat de mariage Antoine DESPAUX x Marie DUBOIS, alors veuve de Pierre PREVOST.
(vue 198) cote 2 : 1633 – Inventaire après le décès dudit Pierre PREVOST, à la requête de ladite Marie DUBOIS, sa veuve.

Bonne continuation
Christophe.

[cdemaz]

Bon dimanche à tous, lecteurs et contributeurs,

ce matin je vous propose :

[134–216] Le mercredi 9 mai 1635. Inventaire après le décès de Elisabeth FOUTEAU. A la requête de son mari, honorable homme Jacques CAILLARD/CAILLART, marchand orfèvre et bourgeois de Paris, y demeurant rue de la Monnaie, paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois, tant en son nom à cause de la communauté de biens qui a été entre lui et la défunte sa seconde femme, que comme tuteur de Marie CAILLARD, âgée de 6 mois ou environ, leur fille mineure. Et en la présence de maître Nicolas LE JAY, procureur en Parlement, demeurant Vieille rue du Temple, paroisse Saint-Paul, subrogé tuteur de la mineure.
(vue 226) : Le sieur BERNARD, marchand orfèvre à Tours, beau-frère dudit CAILLARD.
(vue 227) cote 5 : 1633 – Contrat de mariage à Orléans entre ledit (Jacques) CAILLARD et ladite (Elisabeth) FOUTEAU.
(vue 227) cote 6 : 1633 – Inventaire après le décès de Madelaine BENARD, à la requête de son mari, ledit CAILLARD, en la présence de Jean DUPRÉ.

[134–228] Le mercredi 20 juin 1635. Inventaire après le décès de Toussaint GUILLAUME, facteur de marchands. A la requête de Catherine IMBAULT, sa veuve demeurant à Paris, rue de Long Pont, proche et paroisse Saint-Gervais, en son nom, et en la présence de Louis GUILLAUME, aussi facteur de marchands, demeurant rue de la Mortellerie, paroisse Saint-Gervais, en son nom comme fils unique et seul héritier du défunt.
(vue 232) cote 3 : Ladite Catherine IMBAULT, mère dudit Louis GUILLAUME.
(vue 232) Cote 4 : Anne BOUTARD, fille de ladite IMBAULT.
(vue 233) cote 5 : 5 quittances des 16 avril 1632, et 6 mai 1632 pour frais de funérailles à Saint-Gervais.
(vue 233) cote 6 : 1601 – Tuition de Anne BOUTARD, fille mineure de défunt Philippe BOUTARD et de ladite (Catherine) IMBAULT, donnée en la prévôté de Troyes. 1601 - Inventaire fait à Troyes après le décès dudit (Philippe) BOUTARD, à la requête de ladite (Catherine) IMBAULT au nom et comme tutrice de ladite Anne BOUTARD, et de Pierre SIRET, marchand demeurant audit Troyes, comme tuteur de Jeanne BOUTARD, fille dudit défunt (Philippe) BOUTARD et de défunte Marie MICHEL, jadis sa première femme. En la présence de Nicolas COULON, pâtissier audit Troyes, coadjuteur de Jeanne BOUTARD.
(vue 234) Ledit défunt GUILLAUME et ladite Catherine IMBAULT ont donné 40 livres à Anne BOUTARD en faveur de son mariage avec défunt Pierre ALEXANDRE.

Ces actes sont intéressants, car ils permettent de découvrir l'origine géographique des familles avant leur arrivée à Paris.

A bientôt
Christophe.

[jdp1]

Bonsoir à tous.

[134 – 71] 28 mars 1634 – Inventaire dressé après le décès de défunte Marguerite DE MORIENCOURT, à la requête de son veuf honorable homme François DE CAMBRAY, marchand maître apothicaire et épicier bourgeois de Paris, y demeurant rue Dauphine, paroisse Saint-André-des-Arts, en une maison faisant le coin avec la rue d’Anjou, tant en son nom, à cause de leur communauté, que comme tuteur de leurs enfants mineurs Hilarion, âgé de 17 ans, et Madeleine DE CAMBRAY, âgée de 20 ans environ, et en la présence de Jean Yboud, apothicaire de présent demeurant à Paris en ladite rue Dauphine, au nom et comme procureur de Françoise DE CAMBRAY, veuve de feu Jacques CHEVRIER, marchand et bourgeois de Paris, par procuration faite à Ribemont en Picardie, et encore en la présence de Mathieu FRANCHOME, aussi maître apothicaire à Paris, demeurant rue de la Mortellerie, paroisse Saint-Gervais, subrogé tuteur desdits mineurs, lesdits Hilarion, Françoise et Madeleine DE CAMBRAY, frère et sœurs, habiles à se dire et porter héritiers de ladite défunte leur mère.

[134 – 85] 10 juin 1634 – Inventaire dressé après le décès de feu Jacques LEMAIRE, tailleur d’habits à Paris, à la requête de sa veuve Marie ROGER, demeurant rue Dauphine, en la maison où est pour enseigne la Botte-Royale, paroisse Saint-André-des-Arts, au nom et comme tutrice de leurs enfants mineurs, et en la présence de Jacques ANCEAUME, aussi maître tailleur d’habits à Paris, demeurant rue Neuve Saint-Louis, à côté des murs du Palais, paroisse Saint-Barthélémy, à cause de sa femme Marie LEMAIRE, fille dudit défunt et de ladite veuve, et encore comme subrogé tuteur desdits mineurs, habiles à se dire et porter, avec ladite Marie LEMAIRE leur sœur, héritiers dudit défunt.
(vue 90) cote 1 : 1600 – contrat de mariage entre lesdits Jacques LEMAIRE et Marie ROGER.

À plus tard.

[jdp1]

Allez, deux de plus.

[135 – 1] 18 février 1636 – Inventaire dressé après le décès de feu honorable homme Pierre DELAGRANGE, maître tailleur d’habits bourgeois de Paris, à la requête de sa veuve Philippe BERGELOT, demeurant rue des Fossés, près et paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois, tant en son nom, à cause de leur communauté, que comme tutrice de leurs enfants mineurs, et en la présence d’honorable homme Jean BERGELOT, aussi maître tailleur d’habits à Paris, subrogé tuteur desdits mineurs.
(vue 11) cote 22 : 1628 – contrat de mariage entre lesdits Pierre DELAGRANGE et Philippe BERGELOT.

[135 – 12] 19 février 1636 – Inventaire dressé après le décès de défunt noble homme Nicolas VEDEAU, conseiller du Roi, contrôleur général de ses gabelles et finances en Languedoc, et de damoiselle Françoise PASSART jadis sa femme, à la requête de leur fils unique et seul héritier Mr. Me François VEDEAU, conseiller du Roi en sa cour de parlement, demeurant à Paris, rue et paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois, où les défunts sont décédés.
(vue 36) cote 5 : 1627 – promesse faite à ladite Françoise PASSART, lors tutrice des enfants dudit défunt Nicolas VEDEAU et d’elle.
(vue 43) livres de jurisprudence.
(vue 46) cote 28 : mars 1636 – noble homme Me Guillaume PASSART, pourvu des charges de conseiller du Roi, contrôleur général des finances à Montpellier et contrôleur général des gabelles en Languedoc, frère de ladite défunte Françoise PASSART.

Bonne soirée à tous.

[cdemaz]

Bonjour à tous,

en ce lundi (ensoleillé) j'ai :

[134–236] Le lundi 1er octobre 1635. Inventaire après le décès de haut et puissant seigneur maître Antoine de LAAGE, duc de Puylaurens, pair de France. A la requête de haute et puissante dame Marguerite du CAMBOUT, sa veuve, étant à présent logée ès faubourgs Saint-Honoré, paroisse Saint-Roch, en l’hôtel de haut et puissant seigneur maître Charles du CAMBOUT, seigneur et baron de Pont-Château, chevalier des ordres du Roi, conseiller en ses conseils, lieutenant général pour Sa Majesté en basse Bretagne et gouverneur des ville et château de Brest, son père. Aussi à la requête de maître Ambroise CHAUVEL, sieur du Bois, secrétaire dudit seigneur de Pont-Château, et comme son procureur en cette partie, procuration passée en la juridiction royale de Hennebont (56700) en Bretagne le 11 août 1635 ; et Michel de SARTE(?), procureur en la cour de Parlement demeurant rue de la Parcheminerie, paroisse Saint-Séverin, procureur de maître Charles de L’AUBESPINE, chevalier seigneur de Verderonne (60140), Stors (95290) et autres lieux, conseiller du Roi en ses conseils, procuration passée à l’Isle-Adam (95290) le 4 septembre 1635. Lesdits de Pont-Château et de Verderonne, conjointement exécuteurs du testament du défunt. Les biens étant en divers lieux.
(vue 270) cote 2 : 1634 – Contrat de mariage entre ledit seigneur de Puylaurens et ladite dame duchesse sa veuve.
(vue 291) cote 204 : 1627 – Inventaire après le décès de maître René de LAAGE, seigneur de Puylaurens, père dudit défunt seigneur duc, des biens trouvés au château dudit Puylaurens.
(vue 294) 15 juin 1638 - Est comparu Charles PEZARD, demeurant à Paris rue des Rats, paroisse Saint-etienne-du-Mont, au nom et comme procureur de messire Claude de L’AUBESPINE, chevalier baron de Noirat et autres lieux, chambellan de monseigneur frère unique du Roi, de dame Louise de L’AUBESPINE, femme de Jean de MONTBRON, chevalier comte de Fontaine Chalendrey, et de dame Marie LEBRET, veuve de maître Charles de L’AUBESPINE, seigneur de Verderonne et Stors, conseiller du Roi en ses conseils au nom et comme tutrice de leurs enfants mineurs. Et encore ledit PEZARD se disant avoir charge de dame Madeleine de L’AUBESPINE, femme de Balthazar GOBELIN, chevalier, conseiller du Roi en ses conseils, président en sa chambre des comptes à Paris. Lesdits maître Claude, dames Madeleine Louise de L’AUBESPINE et mineurs dudit feu sieur de Verderonne, héritiers seuls et pour le tout par bénéfice d’inventaire de ladite feue dame Louise POT leur mère et aïeule, à son décès héritière par bénéfice d’inventaire ddit feu seigneur duc de Puylaurens son neveu.
(vue 295) Demande postérieure – Ladite duchesse veuve du duc de Puylaurens, à présent femme de monsieur le comte d’HARCOURT, grand écuyer de France.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Marguerite-Philippe_du_Cambout

[134–297] Le samedi 24 novembre 1635. Inventaire après le décès de Pierre DROUART, bourgeois de Paris. A la requête de maître Jean LANGLOIS, avocat demeurant à Vernon sur Seine (Vernon, 27200), et de maître Louis LE BOUCHER, conseiller du Roi et lieutenant en l’élection de Chaumont et Maigny (probablement Chaumont-en-Vexin, 60240 ; et Magny-en-Vexin, 95420), étant à présent en cette ville de Paris, au nom et comme exécuteur du testament du défunt. Aussi à la requête de nobles hommes maître Antoine et Henri DROUART, frères demeurant au bourg de la Roche-Guyon (95780), étant à présent à Paris, habiles à se dire et porter héritiers paternels du défunt Pierre DROUART leur cousin. Aussi à la requête de noble homme Achille TASSIN, ci-devant grenetier au grenier à sel de Nogent-sur-Seine, à cause de dame Elisabeth CHAILLOU sa femme, de dame Claude CHAILLOU, veuve de Michel DUCHESNE, marchand et bourgeois de Paris, de dame Catherine CHAILLOU, fille majeure usant de ses droits, de honorable hommes Charles, Claude et Jean de VITRY, frères, bourgeois de Paris, demeurant savoir lesdits Charles et Claude à Saint-Antoine des …, paroisse Saint-Paul et ledit Jean de VITRY à Coulomier en Brie. Lesdits CHAILLOU et de VITRY, aussi habiles à se dire et porter héritiers en partie du côté maternel dudit défunt DROUART leur cousin germain Les biens étant ès lieux que le défunt tenaient et occupaient dépendant d’une maison qui appartient à la succession dudit défunt, sise rue et paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois.

Je me dispense des papiers de ce gros inventaire.

A bientôt
Christophe.

[bertrandg]

Bonjour à toutes et tous,

Un nouveau qui vient se rajouter à notre collection :

[134 - 200] 5 mars 1635 - Inventaire après le décès de feu noble homme Pierre LONGUET, conseiller secrétaire du Roi maison et couronne de France et de ses finances, à la requête de demoiselle Marie COLLIN, sa veuve, demeurant à Paris rue de Malle Parolle (des Mauvaises Paroles) paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois, comme tutrice de leurs enfants, en la présence de demoiselles Marie et Marguerite LONGUET, héritières du défunt leur père. En la présence de noble homme maître Etienne BACHELIER, conseiller du Roi et élu en l'élection de Dreux, demeurant à Paris, rue Jean Pain Molet, paroisse Saint-Médéric, subrogé tuteur des mineurs.
(vue 202) cote 1 : 20 août 1595 - contrat de mariage de Pierre LONGUET et Marie COLLIN, fille de noble Julien COLLIN, sieur de Champferrant, conseiller du Roi et receveur du taillon de Paris et de demoiselle Clémence CHARTIER.
(vue 204) cote 7 : 4 juillet 1597 - vente et adjudication en faveur du défunt d'une maison à la requête de demoiselle Marie LE PICART, veuve de noble homme Maître Germain LONGUET, conseiller du Roi et général en sa cour des monnaies sur le tuteur de feu Philippe LONGUET leur fils mineur et ledit défunt maître Pierre LONGUET et demoiselle Catherine LONGUET, enfants et héritiers par bénéfice d'inventaire dudit défunt Germain LONGUET leur père.
(vue 211) cote 30 - un sac de toile contant plusieurs actes et productions concernant un procés entre le défunt Pierre LONGUET, Maître Philippe LONGUET, son frère et les biens laissés par feu demoiselle Marie LE PICART leur mère et un acte de 1624 concernant le défunt héritier de sa mère et Maître François DE LIGNY, secrétaire de la chambre du Roi et demoiselle Marie LONGUET sa femme, Jean DE RAULIN, écuyer sieur de Sommetan et demoiselle Madeleine BACHELIER, sa femme, demoiselle Elisabeth BACHELIER, majeure, Etienne et Jean BACHELIER, frères, et Anne BACHELIER, enfants de feu Maître Jean BACHELIER et de demoiselle Marie LONGUET, leur mère, aussi héritière de ladite feue LE PICART.

Bonne journée.

Bertrand

[cdemaz]

Bonjour à tous,

poursuite du dépouillement :

[135–77] Le samedi 28 juin 1636. Inventaire après le décès de honorable homme Jean CAMUSET, bourgeois de Paris. A la requête de honorable femme Marie LESPAIGNOL/LESPAGNOL, sa veuve demeurant hors la porte Saint-Michel, paroisse Saint-Côme, au nom et comme tutrice de Jean CAMUSET, leur fils mineur. Et en la présence de noble homme maître Pierre CAMUSET, conseiller du Roi, élu en l’élection de Paris, subrogé tuteur dudit mineur, et cousin dudit défunt (vue 81). Les biens étant en la chambre et garde robe qui étaient occupées par ledit défunt, hors la porte Saint-Michel, dépendant d’une maison où est demeurant le sieur Horry, maître sellier, vis-à-vis la Grosse Tête.
(vue 79) cote 1 : 1624 – Contrat de mariage Jean CAMUSET x Marie LESPAGNOL. La future apporte 100 livres par Edmée LESOYN/LE SOUYN pour le legs à elle fait par le testament de feu maître Pierre LERAT, et 200 livres par Louise LESPAIGNOL sa sœur.
(vue 81) Décès de Marguerite LEMOYNE, sœur utérine dudit Jean CAMUSET.

[135–82] Le jeudi 3 juillet 1636. Inventaire après le décès de Charles MUSNIER, marchand de chevaux. A la requête de Jeanne LE DUC, sa veuve en secondes noces, et veuve en premières noces de Jean BRIQUET, maître menuisier, elle demeurant rue Froid Manteau (Fromentel), paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois, en la maison où est pour enseigne la Croix blanche, en son nom. En présence de Georges Lefebvre, premier substitut du Roi, pour l’absence des héritiers du défunt MUSNIER.

A plus tard
Christophe.

[bertrandg]

Bonjour,

encore un :

[135 - 85] 2 octobre 1636 - Inventaire après le décès de feue dame Geneviève MUTEAU fille de feu Sieur Nicolas MUTEAU, bourgeois de Paris, au jour de son décès femme de Maître Gabriel COTIGNON, sieur de Chaunoy , conseiller du Roi en ses conseils, secrétaire de sa Majesté, maison et couronne de France et de ses finances. A la requête de Dame Anne PESSART, sa mère, femme de noble homme Jean BACHASSON, conseiller du Roi et naguère receveur général des ses finances à Limoges, demeurant rue Saint-Honoré, paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois. Aussi à la requête de Maître Jérôme BIGNON, conseiller de sa Majesté en ses conseils et son premier avocat général en sa Cour de parlement, demeurant à Paris, rue des Bernardins, paroisse Saint-Nicolas-du-Chardonnet, nommé avec ledit Sieur COTIGNON par lé défunte exécuteurs de son testament. En la présence du dit Sieur COTIGNON, demeurant à Paris, rue de Bethisy, paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois, d'honnête femme Marie MUTEAU, veuve de feu honnête homme Adrien DEMOUCHY, marchand et bourgeois de Paris, demeurant rue Saint-Denis, paroisse Sainte-Opportune, d'honnêtes hommes Nicolas et Jean MUTEAU, marchands et bourgeois de Paris, ledit Nicolas demeurant rue Aubry-le-Boucher, paroisse Saint-Leu-Saint-Gilles et ledit Jean demeurant sur le quai de la Mégisserie, paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois, à leur nom et se faisant fort de Rolin MUTEAU, marchand et bourgeois de Paris, habiles à succéder à la défunte dame COTIGNON leur cousine germaine.
(vue 89) cote 2 : 20 janvier 1618 - acte au profit de noble Claude de CANONNE, conseiller secrétaire du Roi, tuteur de Jean BAZIN, fils mineur de défunt Maître Michel BAZIN et de ladite Geneviève MUTEAU, lors femme dudit sieur de CANONNE.

vue 90 floue, à refaire s'il vous plaît.

Bonne journée.

Bertrand

[jdp1]

Voici :

[135 – 47] 26 mars 1636 – Inventaire dressé après le décès de feu honorable homme Louis DAVID, marchand panacher bourgeois de Paris, à la requête de sa veuve honorable femme Guillemette BEZART, demeurant sur le pont Notre-Dame, paroisse Saint-Symphorien, en son nom à cause de leur communauté, et aussi comme exécutrice avec honorable homme Jacques RICHARD, maître lapidaire bourgeois de Paris, du testament et ordonnance de dernière volonté dudit défunt, et en la présence, tant dudit RICHARD, à cause de Marguerite REVERSÉ sa femme, que d’honorable homme Mathieu LEROY, maître orfèvre bourgeois de Paris, en son nom, à cause de Jacqueline REVERSÉ sa femme, lesdites REVERSÉ sœurs, héritières chacune par moitié dudit défunt DAVID leur oncle.
(vue 57) cote 1 : 1627 – contrat de mariage entre lesdits Louis DAVID et Guillemette BEZART, veuve de défunt Jacques PANCATELIN.
(vue 60) cote 11 : 1632 - André PANCATELIN, Madeleine PANCATELIN, femme d’Étienne BROCHERIEU, Pierre PANCATELIN, chacun légataire dudit Jacques PANCATELIN leur oncle ; Jérôme PANCATELIN, âgé de 25 ans, fils dudit Pierre.
(vue 63) cote 15 : 1627 - inventaire fait après le décès de Nicole THOMAS, jadis femme dudit défunt Louis DAVID, tuteur de leur fils mineur Louis DAVID.
(vue 63) cote 16 : 1627 - inventaire fait après le décès dudit Jacques PANCATELIN, en la présence de Jérôme PANCATELIN, procureur d’André PANCATELIN son père, frère et héritier mobilier du défunt, stipulant pour Pierre PANCATELIN et Claude PANCATELIN, de Jacques PANCATELIN, exécuteur du testament du défunt.

[135 – 66] 12 juin 1636 – Inventaire dressé après le décès de défunte demoiselle Louise LEROUX, à la requête de son père noble homme Me Adrien LEROUX, avocat au privé conseil du Roi, demeurant à Paris, rue Bertin-Poirée, paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois, tant en son nom, à cause de la communauté de biens qu’il a eue avec défunte dame Marie GAILLARD sa femme, que comme seul héritier mobilier de ladite défunte leur fille, qui était seule héritière de sa-dite mère, et en la présence de noble homme Pierre GAILLARD, conseiller du Roi, contrôleur provincial des guerres en Provence et trésorier dudit pays, demeurant à Aix-en-Provence, à présent à Paris, logé en la maison dudit sr. LEROUX, au nom et comme seul héritier immobilier de ladite défunte Louise LEROUX sa nièce.
(vue 67) cote 1 : 1611 – contrat de mariage entre lesdits Adrien LEROUX et Marie GAILLARD.
(vue 76) cote 31 : 1628 – contrat consécutif à la profession faite par ladite demoiselle Louise LEROUX au couvent Notre-Dame de l’Annonciade à Bourges.

Bonne soirée et à bientôt.

[bertrandg]

Oups , erreur de "biffage" dans la liste, le 85 que j'ai fait : à biffer avec la mention de la vue 90 à refaire, le suivant pas encore...

Bertrand

[cdemaz]

Bonjour à tous,

voici mes lectures dont une annule le biffage superflu :

[135–93] Le vendredi 10 octobre 1636. Inventaire après le décès de Etienne MONGIN/MONTGIN, chef de fourrerie de Monseigneur le duc de Longueville. A la requête de Noëlle REMY, sa veuve demeurant à Paris, rue Jean Tizon, paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois, tant en son nom que comme tutrice de Jean, âgé de 17 ans, de Etienne, âgé de 15 ans, et de Robert MONGIN, âgé de 3 ans 6 mois, le tout ou environ, leurs fils mineurs. Et en la présence de Jean BERTRAND, teinturier à Paris, y demeurant rue de la Calendre, en la maison où est pour enseigne la Clef d’argent, paroisse Saint-Germain-le-Vieil, subrogé tuteur desdits mineurs.
(vue 106) cote 1 : 1612 – Contrat de mariage MANGIN x Noëlle REMY. Antoine REMY et Marguerite DAUJEHAN (?), père et mère de la future, donnent 300 livres, et encore reçu de maître Jean REMY, oncle de la future, la somme de 600 livres.

Heureusement qu’il y a des orthographes alternatives comme MONTGIN, ce qui permet d’exclure ma première lecture MOUGIN.

[135–108] Le 14 novembre 1636. Inventaire après le décès de Antoine BAUDET, concierge des greniers à sel de Paris. A la requête de Madeleine LANGLOIS, sa veuve demeurant rue et paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois, en son nom. En la présence de Antoinette BAUDET, veuve de Julien VOISIN, peintre, elle demeurant en ladite rue et paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois, au nom et comme tante paternelle de Marie BAUDET, âgée de 16 ans environ, fille du défunt et de feue Jeanne BOULLYÉ, jadis sa première femme. Les biens étant en une chambre et lieux joignant étant au-dessus du grenier à sel sis en ladite rue Saint-Germain.
(vue 111) cote 1 : 1629 – Inventaire après le décès de Jeanne BOULLIER, à la requête de son mari, ledit Antoine BAUDET, en son nom et comme tuteur légitime de Marie BAUDET, leur fille mineure, en la présence de Guillaume MALHERBE, huissier au grenier à sel, ami.
(vue 111) cote 2 : 1629 – Contrat de mariage Antoine BAUDET x Madeleine LANGLOIS.

@ +
Christophe.

[jdp1]

De mon côté, les choses se résument ainsi :

[135 – 121] 1 décembre 1636 – Inventaire dressé après le décès de feu André PAPILLON, archer sous la charge du sr. lieutenant criminel de robe courte du Châtelet, prévôté et vicomté de Paris, à la requête de sa veuve Françoise DUVAL, demeurant rue Quiquetone, paroisse Saint-Eustache, tant en son nom, à cause de leur communauté de biens, que comme tutrice de leurs enfants mineurs, habiles à se dire et porter héritiers dudit défunt, et en la présence de François PAPILLON, aussi archer dudit sr. lieutenant, oncle et subrogé tuteur desdits enfants.
(vue ) cote 1 : 1615 – contrat de mariage entre lesdits André PAPILLON et Françoise DUVAL.

[135 – 127] 18 février 1639 – Inventaire dressé après le décès de feu Jean LABBÉ, droguiste ordinaire du Roi, à la requête de sa veuve Yvonne BOURGONNIERE, demeurant à Paris, à la tournée du port Saint-Michel, en la rue conduisant au quai des Augustins, paroisse Saint-André-des-Arts, tant en son nom, à cause de leur communauté, que comme se disant avoir charge et se portant fort de Jean LABBÉ, chirurgien demeurant à Saint-Malo, fils unique et seul héritier dudit défunt.
Les biens étant montrés par ladite veuve et par Robert Buré, de la ville de Saint-Malo, gardien d’iceux.

Bonne soirée et à bientôt chez un autre maître.