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Aide à l'indexation des inventaires de Me Richard Bourgeois (1622 à 1628)

Demandes d’aide pour la lecture ou la transcription de textes anciens rédigés en français uniquement, grâce à l'entraide entre les utilisateurs de Geneanet.
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Inventaires de Richard Bourgeois - AN ET-C-170 (1622-1623)

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Inventaires de Richard Bourgeois - AN ET-C-172 (1627-1628)

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Bonsoir à tous.

Résumons :

[172 – 33] 8 juin 1627 – Inventaire dressé après le décès de défunte Anne CRESSON, à la requête de son veuf Quentin GASTEAU, maître charcutier à Paris, demeurant rue de la Harpe, tant en son nom que comme tuteur de leurs enfants mineurs, habiles à se porter et nommer héritiers de ladite défunte, et en la présence de Pasquier LIDART, bourgeois de Paris, oncle et subrogé tuteur desdits mineurs.
(vue 38) cote 1 : 1624 - échange d’un bien situé à Tremblay ; Robert GASTEAU et défunte Perrette CLAIRAIN père et mère dudit Quentin GASTEAU.

[172 – 40] 26 mai 1627 – Inventaire dressé après le décès de feue Blanche BUCAN / BUCAMP, à la requête de son veuf Jean RICHOMME, peintre à Paris, demeurant rue de la Huchette, en la maison où pend pour enseigne la Pomme-de-Pin, tant en son nom que comme tuteur de leur fils mineur Nicolas RICHOMME, et en la présence d’Augustin BUCAN, maître tailleur d’habits à Paris, demeurant rue de la Huchette, oncle et subrogé tuteur dudit mineur.

À bientôt.
JD
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Et en synthèse :

[172–44] Le 22 mai 1627. Inventaire après le décès de René GRIMAUDET, écuyer, sieur de la Croiserie. A la requête de honorable homme Jean MORLOT, maître tailleur d’habits à Paris, demeurant rue Galande, en la maison de l’Echarpe blanche, créancier du défunt. Et en la présence de noble homme maître Elie CUPIF, avocat en la cour de Parlement, et président des Grands-Jours de Vendômois, mari de damoiselle Marie GRIMAUDET (signe GRYMAUDET), sœur du défunt, maître Claude LE BEGUE (signe LE BEIGUE), procureur au Châtelet de Paris, et procureur de noble homme maître Jacques GRIMAUDET, sieur de la Chenuère, conseiller du Roi au siège présidial de Blois, fils du défunt, maître Michel GRIMAUDET, sieur de C… (Conelliers?), aussi conseiller du Roi et receveur des tailles audit Vendômois, aussi frère et habile à hériter du défunt, et noble homme maître Charles GRIMAUDET, aussi conseiller du Roi audit siège présidial de Blois, frère du défunt. Et encore en la présence de maître Michel POUTTEAU, procureur en la cour de Parlement, procureur et créancier du défunt. Les biens étant en la maison dudit MORLOT, où le défunt était logé et où il est décédé.
(vue 50) cote 61 : 1604 – Compte rendu par François GRIMAUDET, sieur de la Croiserie, ci-devant curateur des enfants mineurs de défunt Jean GRIMAUDET et Jeanne CHANSON, sa femme, à Angers, audit René GRIMAUDET, fils aîné et noble homme Elie CUPIF, avocat en Parlement, mari de damoiselle Marie GRIMAUDET, tant en leurs noms privés que comme curateur desdits Jacques, Michel et Charles GRIMAUDET ses frères mineurs.

[172–74] Le 23 avril 1627. Inventaire après le décès de René GRANGUET, maître cordonnier à Paris. A la requête de Nicole MAIGRET, sa veuve, tant en son nom que comme tutrice de François GRANGUET, leur fils mineur, et en la présence de Pierre DUBOYS, maître sellier lormier à Paris, subrogé tuteur dudit mineur, et encore de Jeanne GRANGUET, femme séparée de biens d’avec Jacques TRANQUART, maître sellier lormier à Paris. Lesdits François et Jeanne GRANGUET, frère et sœur, habiles à être héritiers du défunt leur père. Les biens étant en une maison sise rue de la Huchette, où pend pour enseigne la Cloche.
(vue 82) cote 1 : 1617 – Contrat de mariage GRANGUET x Nicole MAIGRET.

A demain.
Christophe.
cdemaz
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Bonjour à tous,

et ce matin :

[172–92] Le 29 mars 1627. Inventaire après le décès de Perrette THIBOUST. A la requête de son mari, Guillaume FRAUCQUET/FOCQUET (ou FRANCQUET), maître chandelier à Paris, demeurant rue Saint-Martin, près et paroisse Saint-Nicolas-des-Champs, tant en son nom que comme tuteur de Léonard FRAUCQUET, leur fils mineur. Et en la présence de Claude SAIN (signe de SAINCT), maître serrurier à Paris, subrogé tuteur dudit mineur.
(vue 94) cote 1 : 1619 – Contrat de mariage FRAUCQUET x Perrette THIBOUST. Guillaume THIBOUST et Jeanne DESNOUX sa femme, père et mère de la future.

[172–96] Le 1er mars 1627. Inventaire après le décès de honorable femme Catherine LE CHARRON. A la requête de son mari, honorable homme Jean COCHON, marchand drapier, bourgeois de Paris, demeurant rue de la Vieille-Bouclerie, paroisse Saint-Séverin, tant en son nom que comme tuteur de leurs enfants mineurs. Et en la présence de honorable homme Jean GOUSSETTE, marchand bourgeois de Paris, fils aîné de honorable homme Jean GOUSSETTE, aussi marchand bourgeois de Paris, demeurant proche de la Croix Blanche, rue de la Savaterie, subrogé tuteur desdits mineurs.
(vue 111) cote 10 : 1601 – Contrat de mariage Jean COCHON x Catherine LE CHARRON. Marguerite COCHON, tante dudit COCHON.
(Vue 111) cote 11 : 1620 – Transaction entre les héritiers de feu honorable homme Pierre COCHON, leur père commun. Partages etc.

A bientôt
Christophe.
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En bref :

[172 – 84] 21 avril 1627 – Inventaire dressé après le décès de défunte Catherine LESPRON, à la requête de son veuf Ferri LE MIRE, gagne-denier demeurant au cloître Sainte-Opportune, en la maison du Plat-d’Étain, tant en son nom que comme père et tuteur légitime de leurs enfants mineurs.

[172 – 86] 15 avril 1627 – Inventaire dressé après le décès de feu Jean COMMINOT, maître fourbisseur et garnisseur d’épées, à la requête de sa veuve Madeleine HOUSSU, demeurant rue de la Huchette, paroisse Saint-Séverin.

Bonne journée à tous.
JD
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Bonjour à tous,

Je termine la liasse... précédente !

[170 - 271] 20 juin 1622 - Inventaire après le décès de défunt Maître Maurice BOYVIN, bourgeois de Paris, à la requête de maître Jean Trainquard, huissier au siège de la table de marbre du parlement à Paris, son exécuteur testamentaire. En la présence de noble François BOYVIN, contrôleur au grenier à sel de Paris et honnête femme Denise BOYVIN, femme de noble Nicolas ROLBIN banquier des expéditions en Cour de Rome et Bourgeois de Paris, lesdits François et Denise BOYVIN héritiers présomptifs du défunt leur frère. Inventaire fait en une maison où le défunt est décédé le vendredi 6 des présents mois et an, sise rue Saint-Jacques, où pend pour enseigne les Trois Pucelles.
(vue 276) cote 1 : 9-3-1602 - copie de constitution de rente et contrat d'échange entre demoiselle Marguerite DELAMOTHE, femme séparée quant aux biens de noble Maurice BOYVIN.
(vue 279) Fut présent en sa personne Nicolas LAMBERT, écuyer, sieur du Breuil, demeurant à Beaumarchais, paroisse de Saintes Chapelles en Bret, étant de présent à Paris, mari de demoiselle Marguerite DELAMOTHE, auparavant veuve dudit défunt Maurice BOYVIN...

Pour le lieu, vue 279, je pense qu'il est en pays de Bray, dans l'Oise, mais je n'ai pas trouvé précisément, peut-être La Chapelle aux Pots, autrefois La Chapelle en Bray, mais quid du lieu dit Beaumarchais.

Bonne journée

Bertrand
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Bonjour les amis,

au programme :

[172–115] Le jeudi 25 février 1627. Inventaire après le décès de Roland LAPPE, maître cordonnier à Paris. A la requête de Marguerite JACOB, sa veuve, tant en son nom que comme tutrice de leurs enfants mineurs. Et en la présence de Jacques CARRON/CARON, marchand demeurant à Vervins (02140), … de présent à Paris, subrogé tuteur desdits mineurs. Les biens étant en une maison sise rue Saint-Jacques, où pend pour enseigne l’Image Saint-Jacques, où ledit défunt était demeurant, montrés par ladite veuve et par Nicole LESTOURNEAU, mère de ladite JACOB.
(vue 123) cote 17 : 1620 – Contrat de mariage LAPPE x Marguerite JACOB. Nicole LESTOURNEAU, veuve de Pierre JACOB, mère de la future, promet 600 livres.

[172–126] Le 9 février 1627. Inventaire après le décès de maître Léonard CADOT, procureur en Parlement demeurant rue des Canettes. A la requête de Philbert CADOT, écuyer, homme d’armes de la compagnie de monsieur le duc de Nemours, habile à se dire héritier. Les biens étant en la maison où il serait décédé, montré par maître Jacques CADOT, neveu du défunt. En la présence de Alleonord (Eléonore) CADOT, veuve de Nicolas GENTY/GENTIL, Pierre GOULIARD (signe GOULLIART), marchand bourgeois de Paris, à cause de Madeleine CADOT, sa femme, honorable homme Guillaume GAMAULT, marchand mercier au Palais, tuteur des enfants mineurs de lui et de défunte Charlotte CADOT, jadis sa femme, honorable homme Girard BRISSET, aussi bourgeois de Paris, tuteur des enfants mineurs de lui et de défunte Claire CADOT, jadis sa femme, et de maître Jean PAMPERON, procureur audit Châtelet, procureur de honorable femme Marie de VUARCY, veuve de Guyon CADOT, aussi procureur en ladite cour de Parlement, tutrice des enfants mineurs dudit défunt et d’elle, et dudit Jacques CADOT, majeur. Tous lesdits CADOT et mineurs comparants, aussi habiles à se dire héritiers dudit défunt Léonard CADOT.
(vue 130) cote 1 : 1604 – Inventaire après le décès de Jacques CADOT, maître peintre à Paris, à la requête de Julie HOULYE, sa veuve, tant en son nom que comme exécutrice du testament du défunt, et comme tutrice de Léonard et Philbert CADOT, leurs enfants mineurs, en la présence de maître Léon CADOT, procureur en Parlement tant en son nom que comme subrogé tuteur desdits mineurs, desdits Pierre GOULIARD, BRISSET, GAMAULT et leurs femmes.
(vue 130) cote 2 : 1587 – Contrat de mariage entre Nicolas GENTIL et Léonore CADOT, fille dudit Jacques CADOT et de Julie HOUIX sa femme.

Merci Jean Paul.
Merci Bertrand, grâce à ton analyse, je corrige de WIRAY en de VUARCY.

Réservation pour les 155 et 165 STP.
A bientôt
Christophe.
Zuletzt geändert von cdemaz am 12 Mai 2021, 20:45, insgesamt 1-mal geändert.
jeanpaumelinon
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Bonjour Christophe,
Dans le [172–127] le défunt demeurait rue des Canettes et l'IAD commence vue 126
Cordialement
Jean Paul
bertrandg
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Bonjour,

Pour aujourd'hui,

[172 - 151] 29 novembre 1628 - Inventaire après le décès de défunte Marie de VUARSY/VUARCY, veuve de feu maître Guyon CADOT, procureur en parlement, à la requête de Maître Jacques CADOT, postulant au parlement, tuteur de Charlotte et Clémence CADOT sa soeur, enfants mineurs des défunts, et encore de Michel GOGNERAY (signe GAUGNEREY), chef de la fruiterie de la Reine, tuteur de Louise GOGNERAY, sa fille et de défunte Marie CADOT. La défunte était mère desdits Jacques, Charlotte et Clémence CADOT et aïeule de ladite Louise GOGNERAY. En la présence de honorable Michel GAMAULT, bourgeois de Paris, subrogé tuteur desdites Charlotte et Clémence CADOT.
(vue 153-154) sentence du 18 décembre 1619 entre René de VARCY, écuyer, sieur des Acres, Marie de VUARCY, veuve de maître Simon (sic) CADOT, et Geneviève de VUARCY, femme de Maître Jean PAMPRON.

Bonne journée.

Bertrand
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Deux à barrer :

[172 – 132] 23 février 1627 – Inventaire dressé après le décès de défunte Marguerite GUILLAUME, à la requête de son veuf Michel LE SUEUR, bourgeois de Paris, demeurant rue de Beauvais, paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois, à l’enseigne du Petit-Saint-Jean, tant en son nom, à cause de leur communauté, que comme exécuteur testamentaire de la défunte, et en la présence de Marie BOUTTEROUE / BOUTEROUE, femme de Guillaume MARETTE, marchand imprimeur à Paris, demeurant rue Galande, paroisse Saint-Étienne-du-Mont, Claude MARETTE leur fils, marchand imprimeur à Paris, au nom et comme procureur dudit Guillaume MARETTE, ladite BOUTTEROUE sœur utérine et habile à se dire, porter et nommer héritière de ladite défunte, et encore en la présence de Jean LEGRAND, cuisinier de Monsieur le marquis d’Effiat, créancier dudit LE SUEUR et de ladite défunte, et en l’absence de François DIZORÉ, maître tailleur d’habits à Paris, cohéritier de ladite défunte.
(vue 141) cote 2 : 1598 – contrat de mariage entre lesdits Michel LE SUEUR et Marguerite GUILLAUME.

[172 – 145] 29 décembre 1628 – Inventaire dressé après le décès de feu Marc ABOULART / AMBOULART, maître savetier à Paris, à la requête de sa veuve Marie VOIRIE, demeurant au cloître Sainte-Opportune, exécutrice testamentaire, et de Michel ABOULART / AMBOULART, aussi maître savetier à Paris, et Charles HENRY, pareillement maître savetier à Paris, à cause de Catherine LONCLE sa femme, lesdits Michel ABOULART et Catherine LONCLE neveu et nièce dudit défunt et habiles à se dire, porter et nommer héritier d’icelui.
(vue 149) cote 1 : 1590 – contrat de mariage entre lesdits Marc ABOULART et Marie VOIRIE.

Bonne journée à tous.
JD
bertrandg
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Et un autre :

[172 - 194] 10 octobre 1628 - Inventaire après le décès de feu honnête homme Claude LOYAU, sergent à verge au Châtelet de Paris, à la requête de Marie GENAULT, sa veuve et de Maître Jean LOYAU, maître écrivain juré à Paris, ses exécuteurs testamentaires. Et encore Antoine GRENOT, maître faiseur d'instruments de musique à Paris et Anne LOYAU sa femme, Charles DEPLANUS, marchand maître chapelier à Paris et Elisabeth LOYAU sa femme. Lesdits Jean, Anne et Elisabeth LOYAU enfants du défunt. Inventaire fait en une maison sise rue de la Bucherie où pend pour enseigne le Loup.
(vue 201) cote 1 : 9 mai 1613 - contrat de mariage de Claude LOYAU et Marie GUENAULT, fille de feu Léonard GUENAULT et de Marie GAULTIER.
cote 2 : 13 novembre 1611 - contrat de mariage entre Antoine GODART et Anne LOYAU, fille du défunt et de Banche GARNIER, jadis sa femme en premières noces.
cote 5 : inventaire après le décès de défunte Blanche GARNIER, fait à la requête de Claude LOYAU, à la requête du défunt, son mari, d'Antoine GODART, mari d'Anne LOYAU et comme procureur de Jean LOYAU, aussi fils de la défunte.
(vue 202) cote 7 : 5 avril 1621 - transaction entre le défunt et Charles DEPLANUS et Elisabeth LOYAU sa femme, héritière pour un tiers de Blanche GARNIER sa mère.

Bonne journée

Bertrand
cdemaz
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Bonjour à tous,

à retirer de la liste du reste à faire :

[172–155] Le 23 novembre 1628. Inventaire après le décès de Michel FAUVEAU, maître tailleur d’habits à Paris. A la requête de Jeanne HUDEBERT, sa veuve en secondes noces, demeurant rue de la Juiverie, paroisse Saint-Symphorien, pour la conservation de ses droits, et encore de maître Charles PARÉ, praticien au Palais, demeurant rue de la Bûcherie, comme procureur de Robert LION, laboureur demeurant à Bourdonné (78113), bailliage de Montfort-l’Amaury, tuteur des enfants mineurs du défunt Michel FAUVEAU, et de défunte Fleurie FRANCOISE/FRANCOIS, jadis sa femme en premières noces. Et en la présence de François REMY, maître tailleur d’habits à Paris, demeurant rue de la Calandre, subrogé tuteur desdits mineurs. Les biens étant en une chambre dépendant d’une maison sise rue de la Juiverie, où pend pour enseigne le Grand Godet d’or, montrés par ladite veuve et par Antoine FAUVEAU (signe FOVEAU), fils desdits défunts FAUVEAU et FRANCOISE jadis sa femme.
(vue 161) cote 12 : 1624 – Contrat de mariage entre Michel FAUVEAU et Jeanne HUDEBERT, alors veuve de Lancelot de MAGNY, maître tailleur d’habits à Paris.
(vue 161) cote 13 : 6 novembre 1624 – Inventaire après le décès de Fleurie FRANCOIS, précédente femme dudit FAUVEAU, en son nom et comme tuteur de leurs enfants mineurs, en la présence de François REMY, subrogé tuteur.

Une curiosité dans le suivant, c’est la première fois que je vois la date de naissance des enfants portée dans un inventaire après décès (date indirecte, mais complète). Le notaire requérant était, semble-t-il pointilleux sur les détails, il fait également mentionner la date du décès de sa femme.

[172–165] Le mercredi 29 novembre 1628. Inventaire après le décès de Claude CORDIER, décédée le 15 septembre 1628. A la requête de son mari, Martin LYBAULT, notaire garde-notes au Châtelet de Paris, demeurant rue Barre du Bec, paroisse Saint-Merry, tant en son nom que comme tuteur de Pierre, âgé de 5 ans 4 mois dès le 20 du présent mois, François, âgé de 3 ans 10 mois dès le 15 du présent mois, Etienne, âgé de 2 ans et demi dès le 7 de ce mois, et de Madeleine LYBAULT, âgée de 16 mois dès le 22 de ce même mois, leurs enfants mineurs. En la présence de Pierre PATIN, procureur au Châtelet, oncle maternel à cause de sa femme, et subrogé tuteur desdits mineurs. Les biens étant tant en une maison et lieux sis dite rue Barre du Bec, où la défunte est décédée, qu’en une autre maison sise au bourg d’Argenteuil, dont la moitié appartenait à la défunte de son propre, et l’autre moitié audit PATIN à cause de sa femme. Récolement de l’inventaire fait après le décès de Catherine PERSON, jadis femme en premières noces dudit LYBAULT (il y a des enfants du premier lit).
(vue 178) cote 1 : 1621 – Inventaire après le décès de ladite Catherine PERSON, à la requête dudit LYBAULT, tant en son nom que comme tuteur de leurs enfants mineurs. En la présence de Me Nicolas PERSON, commis au greffe de la Tournelle dudit Châtelet, aïeul et subrogé tuteur desdits mineurs.
Cote 2 : Provision d’office.
Cote 3bis : 1621 – Inventaire après le décès de Hilaire LYBAULT, notaire au Châtelet de Paris, à la requête de (Martin) LYBAULT, en son nom et comme tuteur de Jacques LYBAULT, son frère, et encore exécuteur du testament du défunt, de Etienne LYBAULT, émancipé usant et jouissant de ses droits, et de noble homme maître Jacques BORDIER, naguère conseiller du Roi et trésorier (ou receveur?) général des gabelles du Lionnais et Catherine LYBAULT sa femme, à cause d’elle, et encore ledit BORDIER exécuteur du testament du défunt, curateur dudit Etienne LYBAULT, et subrogé tuteur dudit Jacques LYBAULT. Ledit défunt Hilaire LYBAULT et Catherine BERGEON, jadis sa femme père et mère desdits LYBAULT. Puis Partage.
(vue 180) cote 7 : 1621 – Contrat de mariage Martin LYBAULT x Claude CORDIER. Me Pierre CORDIER, procureur au Châtelet, père de la future, promet 6 000 livres.
(vue 186) cote 26 : 1627 - Catherine LYBAULT, religieuse au couvent de Pontoise, fille mineure dudit LYBAULT et de défunte Catherine PERSON, jadis sa femme en premières noces.
(vue 190) cote 41 : 1626 – Partage des successions de Me Pierre CORDIER et Geneviève D…, entre ledit LYBAULT et Claude CORDIER, sa femme, fille des défunts et les autres cohéritiers.
(vues 193) il est question des minutes des contrats passés par les différents notaires dont Martin LYBAULT depuis le 25 novembre 1607 qu’il a été reçu en l’office de notaire, de Hilaire LYBAULT reçu depuis le mois de juin 1580 qu’il fut reçu notaire, jusqu’au jour de son décès qui fut en août 1621, Charles LYBAULT qui a été notaire depuis le 20 juin 1586 jusqu’en mars 1588.

A plus tard Christophe.
bertrandg
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Un petit, mais pas commode :

[172 - 228] 26 mai 1628 - Inventaire de défunte Elisabeth LE PICART, veuve de défunt Theodore SAVARY à la requête de François DUNONS (signe DUNON), bourgeois de Paris et Jeanne MUSNIER sa femme, auparavant veuve de feu François SAVARY, vivant sergent à verge au Châtelet de Paris, héritiers par bénéfice d'inventaire de défunte Charlotte SAVARY qui était fille de la défunte. En l'absence de Jean FAVEREAU maître paumier à Paris au nom de Catherine DUVAL et de Maître Gorliez CORBORCHER/CORBOUCHER procureur au parlement qui ne sont pas venus ni parus et encore en la présence de Auger AUBRY, marchand épicier et bourgeois de Paris. Inventaire des biens trouvés en une chambre sur le derrière d'une maison sise rue de la Vieille Bouclerie, où est contre le mur les Trois Gerbert, où est décédée la défunte.

Bof bof l'écriture et pas de titre pour confirmer...
Merci pour tes propositions Christophe, c'est aussi vrai que j'avais volontairement ignoré certains noms, puisqu'aucun lien avec la défunte n'est explicité. Il en reste d'ailleurs un proprement obscur, le procureur au parlement, pas d'idée pour le prénom -mais ton option est possible- et pas convaincu par le nom que je propose !


Bonne journée

Bertrand
Zuletzt geändert von bertrandg am 14 Mai 2021, 17:31, insgesamt 4-mal geändert.
cdemaz
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Salut Bertrand,

je te propose quelques compléments

François DU NONS (signe DUNON)
Héritiers par bénéfice d’inventaire
Théodore, oui
En l’absence de Jean FAVEREAU, maître paumier (on le retrouve dans la SIV), Catherine DUVAL et en la présence de Auger AUBRY, marchand épicier, bourgeois de Paris
en une maison sise à Paris, rue de la Vieille-Bouclerie, où est contre le mur les Trois Gobert(?), où la défunte était décédée.

Christophe.
cdemaz
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Ah oui excuses moi je n'avais pas vu :
Maître Gorliez CORBOUCHER.

@+
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Bonsoir à tous, et à Me Gorliez CORBOUCHER, qu'on n'avait pas encore eu le plaisir de croiser :)

J'ai relevé ceci :

[172 – 207] 13 septembre 1628 – Inventaire dressé après le décès de feu Abel MAUDUICT, maître sellier, à la requête de sa veuve Madeleine DE LONGUEMARE, demeurant ès faubourg Saint-Germain-des-Prés, rue des Boucheries, et en la présence de Jean DELAVAU, maître tailleur d’habits à Paris, demeurant rue neuve Saint-Médéric, comme procureur et se disant avoir charge de Madeleine MAUDUICT, habile à se dire, porter et nommer héritière dudit défunt son neveu.
(vue 212) cote 15 : 1609 – contrat de mariage entre lesdits Abel MAUDUICT et Madeleine DE LONGUEMARE ; Nicolas DE LONGUEMARE et Marie TOURNET père et mère de l’épouse.

[172 – 215] 5 juin 1628 – Inventaire dressé après le décès de défunte Élisabeth SAUVAGEAU, à la requête de son veuf honorable homme René TURPIN, maître cordonnier bourgeois de Paris, tant en son nom que comme tuteur de leurs enfants mineurs, et en la présence de Me Jean PELISSON, greffier criminel de la ville du Mans, subrogé tuteur desdits mineurs.
Les biens étant en la maison d’icelui TURPIN, sise au carrefour des rues de la Harpe et de Saint-Séverin.
(vue 222) cote 1 : 1620 – contrat de mariage entre lesdits René TURPIN et Élisabeth SAUVAGEAU.
(vue 222) cote 2 : 1619 – inventaire après décès de feue Marguerite GRANET, lors femme dudit TURPIN.
(vue 227) cote 33 : 1619 – Ledit Jean PELISSON, sieur de Rouveray, légataire universel de ladite feue Marguerite GRANET.

À bientôt. Et merci Christophe.
JD
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