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"Aide à l'indexation des inventaires de Me Jean I Charles (1581 à 1596)"

Demandes d’aide pour la lecture ou la transcription de textes anciens rédigés en français uniquement, grâce à l'entraide entre les utilisateurs de Geneanet.
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https://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=888300
Inventaires de Jean I Charles - AN ET-XVIII-202 (1586-1587)

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Inventaires de Jean I Charles - AN ET-XVIII-203 (1588-1589)

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Et voilà ce que nous dit Jean I :

[202–427] Le jeudi 30 juillet 1587. Inventaire après le décès de Nicolas CHAMPION, libraire à Paris. A la requête de Olive TOUCHARD, sa veuve en troisièmes noces, demeurant rue du Puits d’Arras, et en premières noces de Ambroise POLLET, maître menuisier ès faubourg Saint-Marcel, et en la présence de Jean BOUDIN, imprimeur demeurant rue Saint-Victor, subrogé tuteur de Antoinette POLLET, fille mineure de ladite veuve et d’icelui défunt POLLET.
(vue 430) cote A : 1585 (ou 1581 ?) – Contrat de mariage Nicolas CHAMPION x Olive TOUCHARD. Jean CHAMPION, son frère et Adam MORET son gendre occupaient alors la maison.

[202–432] Le mardi 2 juin 1587. Inventaire après le décès de Jacques de COURRIERES, compagnon peintre, demeurant à Paris, rue Saint-Martial, en une chambre au deuxième étage de la maison où est pour enseigne l’Image Saint-Pierre, le défunt est décédé vendredi dernier (29 mai 1587). A la requête de honorable homme Jean RABEL, maître peintre, bourgeois de Paris, demeurant rue Saint-Jean-de-Latran, où est pour enseigne la Rose rouge, au nom et comme exécuteur du testament du défunt.

A demain.
Christophe.
Zuletzt geändert von cdemaz am 19 Oktober 2021, 08:02, insgesamt 6-mal geändert.
cdemaz
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Bonjour à tous,

quelques lignes :

[202–459] Le lundi 20 avril 1587. Inventaire après le décès de Christophe TURGIS et de Marie GERMAIN jadis sa femme. A la requête de honorable homme maître Jean LENORMANT, notaire au Châtelet de Paris, au nom et comme tuteur et curateur de Denis, Marthe, Jean et Guillaume TURGIS, enfants mineurs des défunts. Les biens étant en une chambre sur le devant au second étage d’une maison sise à Paris, rue Neuve Sainte-Catherine, où est pour enseigne la Rose rouge où ledit défunt logeait peu auparavant son décès, et prenait ses repas. Il a été transporté environ 8 jours avant son décès à l’hôtel Dieu de Paris, où il serait décédé mardi dernier (14 avril 1587).

[202–461] Le vendredi 3 avril 1587. Inventaire après le décès de honorable femme Marie LECOURT, survenu dès le 14 janvier 1587. A la requête de son mari, honorable homme maître Bertrand RICHARD, procureur en la cour de Parlement, demeurant à Paris, rue des Rats, paroisse Saint-Etienne-du-Mont, tant en son nom que comme tuteur et curateur de Françoise, Marie et François RICHARD, leurs enfants mineurs, et comme exécuteur du testament de la défunte. Aussi à la requête de honorable homme Jean TEXIER, aussi procureur en ladite cour de Parlement, et Michelle RICHARD, sa femme, à cause d’elle et comme subrogé tuteur desdits mineurs. Lesdits mineurs et ladite Michelle RICHARD, enfants et héritiers de la défunte leur mère.
(vue 472) 1587 – Promesse dans laquelle il est question de la vente de la quatrième partie d’une maison sise place Maubert, provenant de la succession des feux père et mère de ladite Marie LECOURT. Livres.
(vue 487) cote 44 : 1562 – Inventaire après le décès de Catherine de MARET, première femme dudit Bertrand RICHARD.
(Vue 488) Il n’a pas pu être inventorié les titres et papiers provenant de la succession de défunts maître Nicolas LECOURT, procureur au Châtelet de Paris et Jeanne LOURDET sa femme, père et mère de ladite défunte Marie LECOURT.

A plus tard
Christophe.
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Encore en 87 :

[202 – 436] 1 avril 1587 – Inventaire dressé après le décès de feu Charles DESRUES, marchand de chevaux, à la requête de sa veuve honorable femme Marguerite JAQUIER, demeurant rue du Plâtre.
Il a été fait donation à ladite veuve de la moitié des meubles du défunt par ses héritiers.

[202 – 443] 29 janvier 1587 – Inventaire dressé après le décès de feu Guyon JHEROSME / HIEROSME, marchand et bourgeois de Paris, à la requête de sa veuve honorable femme Claude BURLAT, en son nom, et aussi à la requête d’Hugues BURLAT, marchand et bourgeois de Paris, au nom et comme procureur d’honorable homme Jean MASCOT, marchand de chevaux bourgeois de Paris, exécuteur testamentaire dudit défunt ; aussi à la requête de Damien LEGRAND, maître menuisier demeurant Grande rue, faubourg Saint-Marcel, et en l’absence de Me Jean MARTIN, docteur régent en la faculté de médecine de l’université de Paris, Catherine JHEROSME sa femme, Me Claude JHEROSME, greffier des eaux et forêts de France, François JHEROSME, Me Jean DE LA VERGNAYE et Marie JHEROSME sa femme, tous habiles, avec ledit LEGRAND, à hériter dudit défunt.
Les biens étant en une maison sise au Mont Saint-Hilaire, près le Puits-Certain, à l’enseigne des Trois-Croissants.

Bonne journée à tous.
JD
jeanpaumelinon
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Bonsoir Christophe,

Dans le [202–427] la rue n'est à mon avis pas la rue du Puits d'Arras, mais la rue du Puits d'Addas qui se trouve paroisse Saint Victor.
Cordialement
Jean Paul
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Bonjour Jean Paul et tous,

Dans l'acte le clerc a écris rue du Puis Dupuys d'Aras
opera_TPapUR4ShV.png
Je vais laisser rue du Puits d'Arras, qui est attestée ici :
opera_np8KGiyVqn.png
Certes les recherches sur Google ne donne pas beaucoup de résultats pour "rue du puits d'Arras", mais en revanche je n'ai trouvé aucun résultat pour "rue du puits d'addas"
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Bien cordialement
Christophe
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Bonjour Christophe,

Dans ma base, j'avais noté rue du Puits d'Addas extrait d'un livre numérisé mais à l'évidence c'est une mauvaise lecture automatique de la numérisation; je corrige dans ma base en Arras.
Pour info, elle s'est aussi appelée rue des Murs et aujourd'hui se nomme rue Jacques Henri LARTIGUE
Cordialement
Jean Paul
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Deux courts métrages :

[203 – 10] 10 décembre 1588 – Inventaire dressé après le décès de feu Jean PEROT, tourneur sur bois, à la requête de sa veuve Madeleine GIRAU, demeurant ès faubourg Saint-Victor, et de Pierre PEROT, maître tourneur sur bois, demeurant rue de la Ferronnerie, neveu et habile à hériter en partie d’icelui défunt.

[203 – 12] 3 décembre 1588 – Inventaire dressé après le décès, survenu 5 mois auparavant, de feu Denis DUSURJON, tailleur d’habits, à la requête de sa veuve Jeanne SERORGE, demeurant rue de Bièvre, à l’enseigne de la Croix-Blanche, tant en son nom que comme tutrice et curatrice de leurs filles mineures Denise DUSURJON, âgée de 16 ans, et Marguerite DUSURJON, âgée de 9 ans environ, et en la présence de Pierre BLANCHET, tissutier rubanier demeurant rue de Marivaux, cousin à cause de sa femme et subrogé tuteur desdites mineures, héritières dudit défunt.

Bonne soirée et à bientôt.
JD
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Bonjour chers amis,

modeste contribution :

[203–1] Le 11 août 1588 – Inventaire après le décès de Jeanne HENNEQUIN. A la requête de Robert MISSOLIER son mari. Les biens étant en la maison où il est demeurant, sise en la grande rue Saint-Victor, à l’enseigne de la Corne de Cerf.

[203–6] Le mercredi 14 décembre 1588 – Inventaire après le décès de Robert FAUCAULT, piqueur de chevaux à Paris. A la requête de honorable homme Jean LESAGE/LESAIGE dit LARDIN, marchand de chevaux, bourgeois de Paris demeurant rue Perdue près la place Maubert, et de Marie de RAPHAEL, sa femme, cousine et habile à se dire héritière du défunt. Et en l’absence de Guillemette GROU, veuve de feu Thomas ROUSSEL, mère de [blanc] ROUSSEL, à présent veuve dudit défunt, appelée à comparaître pour l’absence de cette ville de Paris de ladite ROUSSEL, veuve d’icelui défunt. Les biens étant en une chambre au second étage des appartenances d’une maison sise dite rue Perdue, en laquelle le défunt serait décédé. Ladite Guillemette GROU domiciliée ès faubourgs Saint-Marcel, rue de Coppeaulx.

@ +
Christophe
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Bon dimanche à chacun,

Beaucoup de travail chez Jean CHARLES ce samedi là :

[203–33] Le samedi 26 novembre 1588 – Inventaire après le décès de Richard VALLERAULT, maître savetier. A la requête de Nicole LESENDRE, sa veuve demeurant à Paris, rue de Bièvre, paroisse Saint-Etienne-du-Mont, tant en son nom que comme mère et tutrice naturelle de Marguerite VALLERAULT, leur fille mineure. Et en la présence de Simon OLLIVIER, aussi maître savetier à Paris, cousin à cause de sa femme de ladite Marguerite VALLERAULT. Les biens étant en une chambre au dernier étage sur le devant d’une maison sise dite rue de Bièvre, appelée la maison des Sept Dormants.

[203–38] Le samedi 26 novembre 1588 – Inventaire après le décès de Suzanne DENIS survenu le 22 novembre 1588. A la requête de son mari, Michel PETIT, maître menuisier à Paris demeurant ès faubourgs Saint-Victor, tant en son nom que comme tuteur et curateur de Michelle PETIT, leur fille mineure. Et en la présence de Pierre TATHOU (signe TATOU), compagnon ceinturier demeurant ès faubourgs de Paris, hors la porte de Montmartre, subrogé tuteur de ladite mineure. Les biens étant en la maison où ledit PETIT est demeurant et où elle serait décédée.

A bientôt
Christophe.
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Re,
Le jour du décès de Suzanne DENIS :

[203–44] Le mardi 22 novembre 1588 – Inventaire après le décès de Médarde de VILLEMET, veuve de Mathurin TINTOUYN, enlumineur à Paris. A la requête de Gilles RAVENEAU, sergent à verge, priseur juré vendeur de biens au Châtelet, prévôté et vicomté de Paris, au nom et comme tuteur et curateur créé le 12 novembre 1588 de François TINTOUYN, âgé de 3 ans ou environ, fils mineur des défunts, et en la présence de Pierre ROUSSEAU, praticien à Paris, subrogé tuteur et curateur dudit mineur, élu le 17 novembre au lieu de Jean CHALLANT, déchargé d’icelle subrogation. Les biens étant en une chambre au premier étage ayant vue sur la rue et petit grenier, des appartenances d’une maison sise à Paris, rue des Arcis(?), où pend pour enseigne l’image Saint-Pierre, en laquelle la défunte était demeurant, laquelle serait décédée de la contagion hors ladite chambre, les clés ont été baillées par Marie RICHER, veuve de Jacques de VILLEMET, en son vivant enlumineur, bourgeois de Paris, frère de ladite défunte.

La SIV indique rue des Arcis, mais j’ai du mal à lire cela, d’autant que la rue des Arcis n’est pas du bon côté de la Seine par rapport aux adresses que nous rencontrons habituellement avec ce notaire.

[203–48] Le lundi 14 novembre 1588 – Inventaire après les décès de honorable homme maître Antoine DE LA PORTE, bourgeois de Paris et de honorable femme Catherine LERICHE, sa femme, décédés de la maladie contagieuse depuis 1 mois environ, sans avoir délaissé aucun enfant. A la requête de Jacques BUSSEROLLES, marchand libraire, bourgeois de Paris, Catherine DHISLE (signe DILLE), veuve de Blaise BARTHELLOT/BERTHELLOT, et de Jacqueline BUSSEROLLES, veuve de Jean GUILLOTTEAU, relieur de livres à Paris, tant en leur nom que comme se faisant forts de Tiphaine DHISLE, veuve de maître Nicolas WALLIN, procureur en l’officialité de Beauvais, tous neveux et nièces et habiles à se dire héritiers du défunt. Et pareillement à la requête de honorable femme Catherine DELAISTRE, femme séparée quand aux biens de Nicolas LERICHE, bourgeois de Paris, aussi habile à se dire héritière de la défunte Catherine LERICHE, fille desdits Nicolas LERICHE et Catherine DELAISTRE. Les biens étant en leur maison où ils seraient décédés, sise à Paris, rue de Bièvre.
(vue 66) cote 1 : testament de Maurice DE LA PORTE, frère dudit Antoine DE LA PORTE.
(vue 67) cote 2 : 1566 – Contrat de mariage Antoine DELAPORTE, marchand de vins, bourgeois de Paris et de Catherine DELAISTRE.
(vue 75) cote 34 : 1571 – IAD Maurice DELAPORTE. Jacques BUSSEROLLES, en son nom à cause de Marie DELAPORTE sa femme.

Je passe vite sur les papiers de ce couple qui n’a pas laissé de descendance.

A plus tard
Christophe.
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Quelques nouveaux personnages :

[203 – 23] 2 décembre 1588 – Inventaire dressé après le décès de feu Emond GRANGER, couvreur de maisons à Paris, à la requête de sa veuve Barbe ESLONIER, demeurant rue des Vertus, à l’enseigne de la Trinité, en son nom et comme tutrice de leur fille mineure Esther GRANGER, et en la présence de Mathurin LECOCQ, marchand bourgeois de Paris, demeurant rue Geoffroy-l’Angevin, paroisse Saint-Merry, subrogé tuteur de la dite mineure, habile à hériter du défunt.

[203 – 27] 26 novembre 1588 – Inventaire de séparation dressé à la requête de Michelle DU PRON, femme séparée de biens d’avec François CHENU, marchand bonnetier demeurant sur le pont Notre-Dame, et en l’absence de celui-ci.

Bonne soirée à tous.
JD
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Où l'on retrouve la rue du Puits d'Arras, alias rue des Murs, alias rue d'Arras.

[203 – 97] 7 septembre 1588 – Inventaire dressé après le décès de défunte Marie THEVENOT, à la requête de son veuf Denis LEROUX, maçon demeurant à Paris, rue des Murs, dite du Puits d’Arras, tant en son nom que comme exécuteur testamentaire de la défunte, et en l’absence des héritiers.

[203 – 100] 1 juillet 1588 – Inventaire dressé après le décès, survenu le 24 juin 1588, de défunte Catherine GUIERT, à la requête de son veuf Pierre VALLÉE, tavernier demeurant à Paris, rue Judas, à l’enseigne de la Mallette, en son nom et comme exécuteur testamentaire de la défunte, et en la présence de Sanson LEVASSEUR, maître savetier à Paris, créancier desdits VALLÉE et sa feue femme, en la présence aussi de Claude CHEVALLIER, maître tailleur d’habits à Paris, et Jeanne GUIERT sa femme, sœur et habile à se dire héritière d’icelle défunte.
(vue 105) cote A : 1580 – contrat de mariage entre lesdits Pierre VALLÉE et Catherine GUIERT.

Bonne soirée à tous.
JD
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Finissons sur ces deux-ci :

[203 – 107] 14 juin 1588 – Inventaire dressé après le décès de feu Jacques SAULNIER, pourpointier, à la requête de sa veuve Matine GOULARD, demeurant rue du Paon, paroisse Saint-Étienne-du-Mont, tant en son nom que comme tutrice naturelle de leur fils mineur.

[203 – 110] 17 mai 1588 – Inventaire dressé après le décès de feu honorable homme Me Étienne COURANT, procureur au Châtelet de Paris, à la requête de sa veuve honorable femme Michelle FORME, en son nom, comme tutrice et curatrice de leur fille mineure Antoinette COURANT, et comme exécutrice testamentaire du défunt ; à la requête aussi d’honorable homme Me Jean LORET, pareillement procureur audit Châtelet, tant en son nom, à cause de Marie COURANT sa femme, que comme subrogé tuteur d’icelle mineure, icelles Marie et Antoinette COURANT habiles à hériter dudit défunt leur père.
(vue 120) cote 4 : 1583 – contrat de mariage entre lesdits Jean LORET et Marie COURANT.

Re-bonne soirée.
JD
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Bonsoir à toutes et à tous,

chapitres 80 et 84 :

[203–80] Le vendredi 16 septembre 1588. Inventaire après le décès de Claude POIRET, maître passeur ès ports de Paris. A la requête de honorable femme Marguerite LEMAISTRE, veuve de Julien DAUMONT, maître joueur d’instruments à Paris, demeurant rue du Jour, paroisse Saint-Eustache, et de Marguerite DELAMOTTE, veuve dudit Claude POIRET, demeurant à la Cité, au nom et comme tutrices élues au posthume duquel ladite DELAMOTTE est enceinte. Et en la présence de Jean GOUSSART, maître vitrier à Paris demeurant rue Saint-Martin, subrogé tuteur dudit posthume. La veuve a déclaré être saisi par arrêt à la requête de créanciers et du père du défunt.

[203–84] Le mercredi 31 août 1588. Inventaire après le décès de Claude REGNARD, survenu dès le 31 octobre 1587. A la requête de son mari, Nicolas JANOTIN, maître tonnelier à Paris demeurant rue Saint-Antoine, paroisse Saint-Paul, en la maison où pend pour enseigne les Corbillons, tant en son nom que comme tuteur et curateur de Pierre, âgé de 10, et Marie JANOTIN, âgée de 8 ans ou environ, leurs enfants mineurs. Et en la présence de Adrien DEHAUCY (signe DEHAUSSY), maître menuisier demeurant à Paris, rue de la Verrerie, subrogé tuteur desdits mineurs. Les biens étant en une maison sise dite rue Saint-Antoine, où la défunte serait décédée.
(vue 95) cote 1 : 1571 – Contrat de mariage Nicolas JANOTIN x Claude REGNARD.
(vue 95) Il appartient aux mineurs 3 quartiers de vigne, sis à Nogent qui appartenaient à la défunte, à elle advenu par le partage de la succession de feue Barbe BUDEVILLE, sa mère.

A plus tard
Christophe.
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Bonjour à tous,

ce matin je vous propose :

[203–140] Le jeudi 21 avril 1588. Inventaire après le décès de François BOUTET, maître tapissier à Paris. A la requête de Jeanne PICART, sa veuve demeurant sur la porte Saint-Victor, tant en son nom que comme exécutrice du testament du défunt. A la requête aussi de Charles LESUEUR, compagnon orfèvre à Paris demeurant rue Saillambye (Saillanerye ?), paroisse Saint-Séverin, tant en son nom que comme stipulant et se faisant fort de ses frères et sœurs, enfants de feu Claude LESUEUR, tapissier et neveu du défunt BOUTET.

Avez-vous une suggestion pour la rue ? Je ne suis en effet pas satisfait de ma lecture.
Rue S.JPG
[203–145] Le lundi 4 avril 1588. Inventaire après le décès de damoiselle Marie JAMAIN. A la requête de son mari, noble homme Etienne JOUSSELIN, écuyer, sieur de Jupilles, demeurant ordinairement en la ville d’Angers, de présent à Paris, logé en une maison sise rue Saint-Paul, au nom et comme tuteur et curateur de Americ JOUSSELIN, âgé de 8 ans, François JOUSSELIN, âgé de 4 ans et Marthe JOUSSELIN, âgée de 9 ans ou environ, leurs enfants mineurs. Les biens étant en une chambre au premier étage des appartenances d’une maison sise dite rue Saint-Paul, en laquelle ledit sieur de Jupilles est demeurant. Ledit sieur de Jupilles a dit avoir fait faire inventaire des autres biens qui ont été trouvés au pays d’Anjou.

A bientôt
Christophe.
Zuletzt geändert von cdemaz am 26 Oktober 2021, 08:19, insgesamt 2-mal geändert.
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